Cet atelier scolaire, d’une durée de 2 heures, se divise en deux parties.

Il s’agit d’abord d’une expérience physique par laquelle les élèves auront à prendre conscience des gestes et des regards qu’ils posent sur l’autre.

Sans parler, les élèves se rencontrent physiquement en exécutant des tâches motrices, relativement simples et mises en action à travers différentes situations théâtrales qui s’inspirent de relations simples avec ses pairs :

• marcher d’un pas assuré vers l’autre;
• s’arrêter pour observer;
• regarder l’autre dans les yeux;
• etc.

Cette partie physique permet ainsi d’expérimenter l’émotion et la sensation véhiculée par la solitude, l’intimidation ou le rejet social. Les mouvements explorent également des jeux de relations saines et harmonieuses avec autrui. Cette partie prépare bien les élèves pour la seconde partie. Elle crée un certain rapprochement entre les élèves et un sentiment de mieux connaître l’autre.

La seconde partie, encadrée par un animateur socioculturel, permet d’ouvrir la discussion sur le vécu de chacun lors de la première partie. Elle permet aux élèves de se révéler et d’échanger sur les différences culturelles et d’en apprendre plus sur l’autre.

C’est la structure de cet atelier qui permet d’arriver à ce résultat. 

Voir le programme du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur “Ateliers culturels à l’école”.

À consulter :

• Éducaloi
• Ministère de la famille
• Jeunesse, J’écoute